JE SUIS AMANDINE
D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu être maman. J'ai toujours eu ce désir fou d'avoir mes propres enfants. J'ai joué à la poupée, j'ai grandi en étant la plus petite de la famille. Le premier bébé de la famille est arrivé quand j'avais 15 ans et j'étais fascinée ! J'étais fascinée par le ventre arrondi de cette cousine qui était enceinte, fascinée par ce tout petit être si vulnérable. J'ai toujours aimé les enfants, et les enfants m'ont toujours aimée. J'ai passé mon BAFA, j'ai travaillé tous mes étés dans des centres de loisirs, j'ai même voulu être éducatrice de jeunes enfants. Puis, finalement, mon âme créative a repris le dessus et je suis devenue graphiste...
Je vous fais la version courte : j'ai rencontré mon mari quand j'avais 20 ans, on s'est vite projeté vers un avenir avec des enfants. On s'imaginait cette vie rêvée, la petite famille parfaite et, pour moi, la maternité édulcorée. On s'est mariés, puis, à l'aube de mes 29 ans, ma première fille est née. Une grossesse en partie allitée, un accouchement expéditif mais vraiment sans trauma, tout allait pour le mieux. J'ai plongé mon regard dans le sien et j'ai su que rien ne serait jamais plus pareil. Cet état de fascination pour mon enfant ne m'a plus lâchée.
Avec la naissance de ma première fille, c'est l'amour de la maternité, l'amour des femmes, le pouvoir de notre corps, la passion pour la grossesse, l'univers tout entier de la parentalité qui m'a happée totalement ! J'ai lu, j'ai écouté, j'ai visionné, je me suis prise d'une passion folle pour tous ces sujets. Je suis clairement devenue féministe et j'ai ouvert mon esprit. J'ai porté un nouveau regard sur cette maternité qu'on nous montre comme un idéal de vie. Ce n'est pas facile tous les jours, mais pour moi, le tsunami est arrivé avec l'arrivée de ma 2è fille. Pourtant, j'ai vécu une seconde grossesse plutôt chouette en découvrant l'univers passionnant de la sophrologie. Ma grande avait 3 ans et, avec l'arrivée de la petite, s'en est suivie une sacrée descente aux enfers. Tout a été bien plus compliqué : le sommeil, l'allaitement et surtout cette impression de tomber dans un gouffre, d'être sollicitée H24 et de perdre totalement mon identité. Je me suis relevée petit à petit, avec l'aide de ma psy, de ma sophrologue, de ma sage-femme, avec le soutien de mon mari, de quelques proches, et j'ai vraiment eu l'impression de sortir la tête de l'eau après la première année.
J'ai compris qu'il fallait
que je retrouve du temps pour moi.
J'ai beaucoup écrit, j'ai pris conscience que mes émotions étaient décuplées. J'ai fouillé mon passé et mon histoire personnelle. J'ai pris en compte mes traumas, je suis devenue plus douce envers moi-même.
J'ai mis en place des méthodes qui marchent pour moi. J'ai réalisé une vraie introspection envers moi-même. Une introspection qu'on devrait toutes prendre le temps de réaliser. J'aurais souhaité prendre conscience de tout cela avant. Et c'est pour ça que Le Cocon des Émotions est né !
Cette formation, c'est tous les outils, toutes les connaissances que j'ai accumulés depuis 6 ans de parentalité. Mais si Le Cocon existe, c'est aussi pour aider les femmes dans cette détresse émotionnelle que je connais si bien. Je veux prendre chacune de vous par la main et lui dire « Viens, ça va aller, on est ensemble, on est fortes, on se soutient ».
Le Cocon, c'est un vrai accompagnement pour TOI, ma super mama, pour arrêter de te perdre dans les méandres de la maternité et pour redevenir une femme heureuse, épanouie !
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